Musée Guillaume Apollinaire

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Apollinaire et Stavelot : une surprenante histoire d’amour…

Ce musée nous rappelle que le célèbre poète français Guillaume Apollinaire (1880-1918) quitta la pension Constant, située rue Neuve, sans payer sa facture, car sa mère, qui devait lui envoyer de l’argent, avait tout dépensé au casino de Spa. Il était resté des semaines dans cet établissement qui, à présent, s’appelle « Le Mal-Aimé », du nom d’un poème du recueil Alcools. Sur la façade, on peut lire : « À l’aube du 5 octobre 1899, le poète Guillaume Apollinaire quitta cette maison où il vécut une saison de sa jeunesse. » Stavelot qui resta dans le cœur du poète…

C’est ici qu’il changea son prénom « Wilhelm » en « Guillaume », qu’il fit de longues promenades, qu’il fréquenta un cercle poétique et dramatique et y rencontra Marie Dubois, dite « Mareye ». Il en devint rapidement amoureux et, visiblement, elle le lui rendit bien. Elle fut une sorte de muse pour lui, puisqu’il se mit à écrire de manière abondante. Mais, par son départ à la cloche — avec une fameuse ardoise au préjudice de Monsieur Constant —, il rompit brusquement sa relation avec Marie.

Ce qui, visiblement, ne lui porta pas chance sur le plan sentimental… C’est au musée qui est dédié au poète, que j’ai appris que le futur ami d’Alfred Jarry et de Picasso allait vivre d’autres déboires sentimentaux, sa manière de fuir en plantant Marie, c’était son premier amoureux, paraît-il, l’aurait « marqué » de manière négative, du moins sur ce plan !

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